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De nouveaux vetements de travail sur mesure pour Monsanto

Début 2012, Monsanto, un géant de la chimie basé dans le port d’Anvers, s’est lancé à la recherche d’un nouveau fournisseur pour ses vêtements de travail. Son choix s’est porté sur Vandeputte.
Les deux sociétés collaboraient déjà depuis les années 1970 dans le domaine des équipements de protection individuelle (EPI), tels que les lunettes de sécurité, les casques et les gants.
 

« Auparavant, nous achetions en crédit-bail nos vêtements de travail auprès d’une blanchisserie mais cette solution manquait de flexibilité et était relativement onéreuse. En discutant avec Vandeputte, nous nous sommes aperçus que la société proposait une offre de services très complète pour les vêtements : du choix des tissus et des modèles jusqu’aux mesures, à la livraison, au lavage et à la facturation. »
Tel est le témoignage d’Edgar Van Heulst, responsable de l’approvisionnement technique de Monsanto à Anvers.

Un seul interlocuteur pour les vêtements de sécurité

Monsanto a décidé de désormais acheter ses vêtements plutôt que de les louer ou de les acheter en crédit-bail. Après une évaluation de 15 candidats fournisseurs, le contrat a été attribué à Vandeputte. En tant que fournisseur principal, Vandeputte a sélectionné, en accord avec Monsanto, un confectionneur et une blanchisserie adaptés. Van Heulst : « On voit qu’ils sont spécialisés dans la sécurité, ils pensent à des choses qui semblent être des détails pour nous mais qui sont pourtant essentielles. »
« Nous avons également décidé de faire fabriquer des vêtements de sécurité parallèlement aux vêtements de travail. Les matériaux utiliséset le mode de confection des vêtements de sécurité sont très spécifiques : pensez par exemple au matériau des boutons, à l’emplacement des poches sur le vêtement, aux fermetures, etc. Notre entreprise fonctionne en permanence, nos collaborateurs doivent donc être bien visibles, même dans le noir. Nous avons donc prévu des couleurs fluorescentes et des bandes réfléchissantes sur les vêtements. Vandeputte nous a aidés à définir le modèle de base en fonction de nos souhaits et selon les normes les plus courantes. »

Le travail sur mesure, pas seulement pour les costumes

Pour être à l’aise dans ses tâches quotidiennes, il faut des vêtements confortables. Ce n’est possible que si chaque salarié bénéficie de sur-mesure, Vandeputte a donc organisé des séances de mesures chez Monsanto. Ce qui n’a rien d’évident dans une entreprise qui compte pas moins de cinq équipes différentes ! Deux semaines durant, un collaborateur de Monsanto et deux collaborateurs de Vandeputte ont travaillé à prendre les mesures des 650 salariés dans un atelier transformé, avec quatre cabines d’essayage. Van Heulst : « Nos salariés ont dû essayer tous les vêtements, des maillots de corps aux pantalons, des vestes aux gilets jaunes, et j’en passe. Ce n’est pas qu’une simple question de tailles de confection : la longueur des manches et des jambes de pantalon varie également et il existe une différence entre les vêtements pour hommes et pour femmes. Et Vandeputte fournit également les chaussettes et les sous-vêtements. »

Du linge propre chaque jour

Chaque jour, Vandeputte vient chercher le linge sale et livrer du linge propre. Cela nous a permis de réduire le nombre de vêtements par collaborateur de dix à quatre, ce qui représente une économie considérable. Chaque vêtement dispose d’une étiquette unique, Vandeputte sait ainsi dans quel casier les vêtements doivent être placés. Les vêtements usés sont détectés à la blanchisserie et immédiatement remplacés par de nouveaux exemplaires.

Achats en ligne d’équipements de protection individuelle

Une centaine de collaborateurs, essentiellement des responsables d’équipes, commandent des équipements de protection individuelle pour eux-mêmes et leurs collègues sur le site www.vdp.com. Ils passent commande directement depuis un catalogue Web créé sur mesure par Vandeputte pour Monsanto, avec des prix et des délais de livraison définis. Vandeputte conditionne les équipements de protection individuelle dans son centre de distribution, pour chaque service et de manière nominative, et procède chaque jour à des livraisons sur le site de Monsanto. Un employé du service de messagerie interne les livre aux différents services. « Là aussi, la sécurité est garantie : le nombre de fournisseurs et d’intervenants externes sur nos sites est réduit au strict minimum », explique Edgar Van Heulst.

Une suite pour la success story d’Anvers

Depuis qu’Anvers a essuyé les plâtres, Vandeputte livre, à partir de son centre de Puurs, d’autres sites européens de Monsanto. C’est déjà le cas aux Pays-Bas, en France, en Hongrie et en Espagne. L’Italie, la Roumanie, la Turquie, l’Allemagne et l’Ukraine devraient suivre bientôt. « Nous avons beau parler de plusieurs centaines d’articles, Vandeputte dispose de 90 % des éléments en stock. La société a investi dans un centre de distribution totalement neuf. Ses prix sont cependant compétitifs lorsque l’on étudie l’offre dans son ensemble. Et surtout, elle connaît très bien son domaine. Elle sait à quelles normes nous devons répondre dans le secteur de la chimie et suit de près les changements au niveau de la législation. Elle se rend sur place avec des fabricants de vêtements pour faire les meilleurs choix. Et surtout, elle sait nous écouter, nous et nos collaborateurs. »


  • Monsanto Anvers compte six unités de production de produits chimiques. Ces services appartiennent à quatre entreprises internationales : Monsanto, Eastman, Henkel et Ferro.
  • Monsanto compte environ 800 collaborateurs sur son site d'Anvers.
  • Vandeputte propose des vêtements de travail et de sécurité à 650 salariés de Monsanto.
  • Vandeputte fournit des équipements de protection individuelle à Monsanto depuis les années 1970.
  • Monsanto consacre chaque année environ 700 000 euros aux équipements de sécurité

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